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  • : Le blog de Fafane
  • : Le blog de Fafane vous raconte en images quelques voyages et petites escapades en France et à l'étranger ainsi que divers sujets comme bouts de vie, recettes et poésie.
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25 février 2021 4 25 /02 /février /2021 13:51

L'automne aux superbes couleurs, rythmant une gaie farandole

Revient chaque année en douceur  pour rendre hommage à Popaule.

Cette ronde infinie, la valse des saisons,

Elle la danse aussi avec force et passion.

Au profond de son être dorment ses pensées.

Elle sait être discrète comme une fiancée.

Octobre de retour il lui fait accepter

De prendre un an de plus et gaîmant le fêter.

Depuis sept fois dix ans sous des cieux clairs et doux,

S'égrènent ces instants partagés avec nous.

Dans son ame fleurit la jeunesse éternelle

Et, fougueux, son esprit la porte à tire d'ailes

Vers ces géants du tour que je connais à peine.

Elle parle avec amour de la"Petite Reine".

Virenque, Jalabert ou encore Brochard,

Tous lui sont bien connus jusqu'au dernier traînard.

Avide de savoir, de connaître le monde,

Planètes et galaxies sont merveilles profondes

Malgré le fil des ans, d'une ardente chaleur

Elle éclaire la vie.

Dans la longue kyrielle des heures,

Qui parfois coulent monotones

Elle écrit des sonnets

Qui narrent la splendeur de l'automne.

Vous qui la chérissez, qui partagez son coeur,

Sans jamais vous lasser offrez lui le bonheur.

Pour moi elle est toujours la grande soeur aimée,

Qui dans cet âge d'or ne changera jamais.

L'émotion m'envahit et lui dis sans ambages

Vivons l'esprit heureux sans penser à notre âge.

 

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3 juillet 2020 5 03 /07 /juillet /2020 15:51

Nos cousins célèbres

Saviez-vous que nous sommes cousins avec Christian Gion ?

A la quatrième génération de la branche Daube mais cousins tout de même.

Né à Lourdes en 1940 Diplômé d’H.E.C., il est devenu sur le tard, metteur en scène.

On lui doit de nombreux films « commerciaux » à tendance humoristique. Dont : C’est dur pour tout le monde (1975) avec Claude Piéplu, Le pion (1978) avec Michel Galabru, J’ai rencontré le Père Noël (1983), Le Gagnant avec Michel Galabru et Stéphane Audran, Le Provincial (1990) avec Roland Giraud, dont l’action se passe en partie dans le Lavedan, Les Insaisissables (2000) avec Daniel Prévost. Le plus connu et qui passe de temps en temps à la télévision est sans conteste Pétrole, pétrole (1981) avec J.-P. Marielle, B. Blier et H. Guybet Il avait projeté en 1993, de faire un film sur la vie de Bernadette en Omnimax.


A ses débuts, il a réalisé un petit film sur les Sanctuaires de Lourdes. Il a été projeté lors des journées du cinéma à Lourdes (Lourdes au Cinéma, 2010). Il a été nommé un certain temps président de l’équipe de rugby de Lourdes (F.C.L.). Il est président de Lapaca production (film).

                                             

Jean-Louis DAUBE 1808-1874&1830 Magdeleine MONTAT 1811-1896

 



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Auguste Laurent DOBE 1847-

 

Justin DAUBE 1835-1907

& Jeanne BERNET 1852

 

& Marie-Philomène SAJOUS 1840-1917

Dominiquette DAUBE 1880-1964

 

Jean Marie DAUBE 1860-1921

& Pierre CAZAVANT 1876-1971

 

& Marie-Julie CLAVERIE 1869-1938

Lucienne Odette CAZAVANT 1909

 

Raoul DAUBE 1903-1972

& Léon Roger GION 1907-1976

 

Raymonde MANSUIS 1905-1998

Christian GION

 

Jacqueline  - Paule – Colette – Françoise

                Jean et Renée DAUBE

 

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25 février 2020 2 25 /02 /février /2020 09:35

ICI

Ici, où l'horizon est borné de montagnes,
Un chaud matin d'avril nous sommes arrivés,
Le soleil rayonnait sur toute la campagne
Et lançait des clins d’œil aux cimes enneigées.
 
Des sentiers escarpés aux gorges de verdure
Ici, tout est grandiose, étrange et imposant.
Je n'étais qu'une enfant face à l'âpre nature
Et, levant mon regard vers les pics triomphants...
 
Je les imaginais, ces pics, guerriers sous leurs armures,
S'élançant conquérir, même le firmament.
De leur flanc jaillissait par de larges blessures,
Un sang, fait de cascades et d'écumants torrents.
 
Ici, ma dit mon père, tu as une grand-mère,
Des oncles et des tantes et aussi des cousins.
Avec leurs voix sonores et leurs rudes manières,
Comme ils m’impressionnaient ces bruyants galopins.
 
Que cela est lointain, que d'années écoulées
Depuis que j'ai quitté les bois de ma naissance.
Pour venir vivre ici, j'ai traversé la France,
Des rives de la Meuse au cœur des Pyrénées.
 
 
 
Poème de ma sœur Popaule
 
 
 
 
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22 février 2020 6 22 /02 /février /2020 09:48
Mon histoire

                                                                               

Toute ma vie j’ai espéré devenir écrivain. Premièrement parce que ce métier évoque pour moi, une personne installée dans un coin de bureau, une table de café, un banc dans un parc. Cette personne tranquille devant son papier ou devant l’ordinateur « mais ça pour moi c’est plus difficile à imaginer car j’aime aussi écrire pour écrire avec un stylo ».

Mieux encore j’aurais préféré me lancer dans les pleins et les déliés d’une belle plume, le mouvement de chaque lettre formée m’entraînant dans une nouvelle aventure.

Secondo, j’ai un vieux souvenir « magnifique » un moment de surprise, un moment qui se loge au fond de votre cœur pour la vie, qui ne fait pas sauter de joie, non, mais c’est plutôt un sentiment qui s’installe, qui s’étale avec quand même une certaine retenue et vous procure une sensation de quelque chose d’accompli.

Un jour ma mère me fit préparer, me dit de mettre mes plus beaux habits et ensuite de la rejoindre car nous allions sortir. Je me dépêchai d’exécuter les ordres car avec ma mère il n’était pas question de tergiverser. J’enfilai donc ma petite jupe plissée bleu-marine, mon chemisier blanc, mes chaussettes blanches, que je tirai le plus possible vers le haut avant que ce soit ma mère qui le fasse, car cette opération était pour moi une torture, car elle remontait toujours mes chaussettes « qui étaient serrées à un point qu’on aurait dit des bas de contention » en retournant ses doigts « longs et pleins d’os » à l’intérieur de mes chevilles. J’ai toujours eu l’impression qu’elle faisait ça pour me punir d’une faute dont je n’avais pas moi-même le moindre soupçon. Je sautai dans mes chaussures vernies très belles et très neuves.Une fois prête je rejoignais ma mère qui s’occupait de ma coiffure. Encore un mauvais moment à passer.

A son habitude, elle me tira les cheveux en queue de cheval, et le verbe tirer n’est pas inapproprié, car une fois l’élastique enfin enfilé, j’avais l’impression d’avoir subi un lifting. En effet ma peau était tellement tendue sur les côtés du visage que je me demandais si j’allais pouvoir désormais articuler un seul mot.  Moi qui avait de si beaux cheveux avec  des boucles naturelles et qui aimait tellement quand mes anglaises virevoltaient autour de moi, j’en étais malade.

Enfin j’étais prête et ainsi blanche comme une morte, car mon sang ne circulait plus du tout dans mes veines, mes belles chaussures vernies faisant office de chaussures de ski, nous descendîmes les trois étages de notre immeuble, puis main dans la main nous arpentâmes les rues de Lourdes.

Ma mère me serrait la main comme si j’étais un ballon de baudruche qui menaçait de s’envoler. Sans un mot nous avancions, dans ma petite tête les pensées se bousculaient. La tenue du dimanche un samedi ? Où va-t-on ? Du haut de mes huit ans je pensais, quelque chose d’exceptionnel, mais quoi ? Bon ou mauvais ?

 

 

Nous passâmes par le jardin public pour se diriger vers un bâtiment que j’ai toujours admiré car il me faisait penser à un palais. Et voila que ma mère m’entraînait dans les marches du palais. Allions-nous rencontrer un roi, une reine ? Elle s’arrêta devant une  immense double-porte en bois travaillé et tout en m’intimant le silence elle entra sans frapper en me traînant derrière elle. Sur le coup je me suis dit qu’elle exagérait de rentrer comme ça, comme si elle était chez elle.

Je fus interloquée à la vue de cette immense salle, absolument incroyable car je n’avais jamais rien vu de pareil. Il y avait des étagères jusqu’en haut et toutes couvertes de livres. Un labyrinthe d’étagères, des livres partout, biens rangés, bien alignés.

Cette pièce sentait bon le papier, le cuir. Ma mère me fit faire le tour de ce dédale, passer dans toutes les rangées. Je n’en croyais pas mes yeux, ils devaient être écarquillés au point d’en éclater. Elle me dit : « tous ces livres ont été écrits par différents auteurs et pour des adultes ». Puis au détour d’une rangée « voici les livres pour les enfants ». Et maintenant me dit-elle en ouvrant son sac « voilà, je t’offre une carte qui te permettra de choisir trois livres qui te feront plaisir. Tu les liras à la maison et plus tard tu viendras en choisir trois autres ».

J’en eu le souffle coupé. A moi, il allait m’être permis de choisir des livres sur ces étagères. C’était un honneur immense. L’émotion m’envahit et je crois que j’ai même remercié ma mère.

Ce fut pour moi l’un des plus beaux cadeaux de ma vie que cette carte pour cette immense bibliothèque. Il me fallut un temps infini pour choisir mes trois premiers livres dans la bibliothèque rose, et je crois me souvenir que mon tout premier avait pour titre « Oui-Oui et l’éléphant bleu » d’Enid Blyton.

Dans les années qui ont suivi, j’ai dévoré les rayons les uns après les autres.

 

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18 février 2020 2 18 /02 /février /2020 10:24

Le beau voyage de Mattéo

 

Ils l'avaient annoncé, et les jeunes basketteurs et basketteuses de la Savasta Basket-Ball Academy l'ont fait. Le rêve américain, ils l'ont réalisé à Seattle, durant les vacances de la Toussaint. Une belle expérience:

«L'académie de Laure Savasta était en déplacement à Seattle, du 23 octobre au 1er novembre 2017, avec 39 de ses jeunes basketteuses et basketteurs partis découvrir le basket US au sein de l'université Washington, partenaire de la structure de l'ex-internationale.»

Un séjour intense et plein de belles surprises :

 

 

«Les échanges ont été riches durant le séjour, avec notamment un accès aux entraînements des équipes masculins et féminines des Huskies, évoluant en NCAA division I dans la Conférence Pacific C’est le 12ème meilleur niveau universitaire des États-Unis. Les académiciens ont pu partager des moments forts avec les entraîneurs des Huskies, et visiter les infrastructures extraordinaires dans lesquelles évoluent les joueurs (salle de plus de 10.000 places notamment…)».

 

Pas question pour autant de faire l'impasse sur le basket et faire quelques matchs :

«Les protégés de Laure Savasta ont pu s'entraîner et se confronter avec succès aux basketteurs des Eagles du Cleveland High School de Seattle (équivalent du niveau lycée en France), Leurs entraîneurs ont été séduits par le basket pratiqué par les joueuses et joueurs de l'académie.»

Des échanges qui devraient se poursuivre en Bigorre :

«Les coaches locaux ont manifesté leur intention de venir en terre tarbaise pour continuer à échanger sur les bonnes pratiques, et permettre aux jeunes de s'enrichir des expériences de chacun.»

Un séjour qui a fait la part belle au grand spectacle avec la présence des jeunes de la Savasta Academy dans les gradins d'un grand match même si ce n'était pas du basket :

 


 

«Les académiciens ont pu assister à un match de football américain dans le Husky Stadium de 110.000 places, visiter le mythique Safeco Field, stade de baseball à toit rétractable de 50.000 places, se hisser en haut du Space Needle, naviguer sur Elliot Bay et profiter de nombreuses activités locales.»

 

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17 février 2020 1 17 /02 /février /2020 15:35

 

 

En ce mois de novembre 1913, le petit village de Sainte Ménéhould vivait au ralenti. Un froid piquant s’était abattu sur la France depuis la mi-septembre. Les paysans du coin avaient depuis longtemps rentré leur fourrage, enfermé leurs bêtes et préparé les piles de bois ou de charbon qui leur permettraient de tenir tout l’hiver. L’année 1913 avait été bonne pour les cultures ; ainsi, chaque maisonnée était parée, regorgeant de nourriture pour affronter une saison rude.

 

Emmitouflées dans leurs écharpes et bonnets de laine, leurs chaussettes de grosse laine tirées jusqu’en haut du genou Raymonde et Lucie main dans la main rentraient de l’école. Elles étaient suivies à quelques minutes près de leurs frères Marceau et Aimé qui avaient été retardés  sur la place par une course folle avec les copains autour des platanes.

 

Sautillant et chantant une comptine apprise à l’école elles arrivèrent près de leur maisonnée. Une douce lumière filtrait derrière les carreaux, la cheminée fumante permettait de prévois un accueil chaleureux.

« La première arrivée à la porte » s’écria Lucie. Evidemment ce fut elle la première. Sa petite sœur commençait à pleurnicher lorsqu’elle se rappela soudain que pour elle demain soir serait son anniversaire. Ce serait la fête. On fêterait  son huitième anniversaire. Dans son parc, le petit frère Robert les accueillit à grands cris et en tapant le plus fort possible sur un faitout avec une cuillère en bois.

 

Un grand bol de lait brûlant les attendait sur la grande table en bois. Après avoir sauté sur leur maman Anaïs pour l’embrasser, puis chatouillé  Robert au passage, elles se débarrassèrent de leur harnachement et se mirent à table. Leurs frères arrivèrent presque aussitôt et en firent de même. C’était un moment de détente délicieux, la chaleur commençait à revenir dans tous ces genoux glacés. Le lait brûlant coulait dans leur estomac entraînant avec lui toutes les tensions de la journée.

C’était ça le bonheur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 mai 2019 7 26 /05 /mai /2019 09:55

Tu es partie pour ton dernier voyage et sans toi je suis perdue. Tu es allée rejoindre nos deux sœurs et vous êtes ce soir, les trois grandes, réunies comme dans votre jeunesse.

Tu es partie et je n'étais pas à tes côtés. Avant ton départ je n'ai pu te souhaiter un bon voyage. Je regrette tant de n'avoir pas été près de toi lorsque tu m'as cherchée. Tu as toujours été si présente dans ma vie. Depuis ma tendre enfance tu as toujours été là pour moi et j'ai bien profité de ta sagesse et de tes expériences. Combien de fois j'ai pris le téléphone lorsque j'avais mal. Dans les moments les plus douloureux de mon existence tu as su si bien me consoler, m'encourager me remonter le moral. Tu étais triste de mes soucis mais aussi heureuse de nos joies. Nous avons ces dernières années passé tant de temps à faire de petites escapades, tant de temps à bavarder, la source concernant nos enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants étant intarissable. 

Ce soir hélas je ne peux te confier ma peine. Pourtant il me semble entendre ta voix. Elle me dit "ne soit pas triste, je ne suis pas loin, je suis dans ton cœur". Un tourbillon de pensées roule dans ma tête mais je n'ai pas comme toi la plume facile pour dire mon désarroi.

C'est certain tu vas manquer à beaucoup de monde, à toute ta grande famille, cette grande famille dont tu étais si fière, à ton frère, à tes sœurs. Ce soir je pense surtout à ma peine. Tu me manques déjà beaucoup ma grande sœur.

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16 mai 2016 1 16 /05 /mai /2016 14:15
Jeux d'enfants
Jeux d'enfants
Jeux d'enfants

Quel plaisir une journée à la campagne.

Construire une cabane de feuilles est très agréable.

Félicitations à tous les participants.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 11:50

La panthère de l'hiver

 

Il est un paradis, au pied de nos montagnes

Où,chaque année elle vient, en féline compagne

Chercher un peu de rêve au coeur de nos contrées,

Lorsque le bel hiver descend sur les vallées.

 

Comme un beau fiancé allant vers son amie,

Près d'elle doucement sur la terre endormie,

L'hiver tend son  manteau d'étincellante hermine

Couvrant plaines et monts de belle neige fine.

 

Tache sombre sur le blanc cahier de l'hiver

Elle apparait en ombre sur le versant clair.

Là, le corps au repos sur le tapis neigeux

Elle épie, elle guette les sommets et les cieux.

 

Elle sait que bientôt le printemps revenu

Elle disparaitra dans la terre perdue,

Emportée dans la ronde des ruisselantes eaux,

Elle s'estompera dans un dernier sursaut.

 

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 10:02

Qui n'a pas rêvé un jour d'imiter Tarzan en se promenant dans les arbres? Lianes, passerelles en bois ou en filet, ponts suspendus et tyroliennes sont maintenant d'actualité pour celui que veut connaître des sensations fortes.

Des parcs de loisirs appelés accrobranches fleurissent  partout

 

 

Mattéo et Elisa attendaient depuis longtemps cette sortie au milieu des branches et c'est avec grand plaisir qu'ils ont vécu cette aventure au parc "Clorofil' à Ayros au coeur des Pyrénées.

 

 

 

 

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La sécurité est primordiale et avant de se lancer à l'assaut des faîtes des arbres petits et grands sont convenablement harnachés.

 

Les plus jeunes à partir de 4 ans peuvent accéder à quatre parcours.

 

 

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Le parcours MAMOTTE , parcours vert,  permet aux enfants de découvrir l'activité et d'appliquer les consignes du moniteur sur un niveau peu élevé.

 

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Le parcours ISARD, niveau bleu, est encore moyen mais se termine par une première tyrolienne et c'est la que s'installe la peur du vide.

 

 

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Vient ensuite le parcours rouge, ECUREUIL, difficile et aérien.

 

Le dernier parcours, le mini noir, haut et vertigineux n'a pas été abordé car Elisa complètement paralysée par la crainte  lors du passage de la dernière tyrolienne a du être prise en charge par le moniteur.

 

Mais tout est bien qui finit bien nous avons passé un bon moment de plein air et nature.

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